Tuesday, November 22, 2011

LA LETTRE QUE SARKOZY NIE AVOIR ENVOYE A BAKAYOKO

Lettre de Sarkozy à Youssouf Bakayoko: Quand la vérité rattrape le mensonge.

LETTRE DE SARKOZY A BAKAYOKO.jpg

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Zuma refuse de recevoir l'ambassadeur de France venu faire du lobbying pour Ouattara

La publication du courrier qui a trahi le mépris du Président français Nicolas Sarkozy vis-à-vis des autorités ivoiriennes et leur peuple, trouble le sommeil de l’expéditeur. Lui qui croyait agir en toute discrétion, se trouve au centre d’une honteuse affaire. Si bien que Nicolas Paul Stéphane Sarkozy de Nagy-Bosca cherche à réparer l’irréparable.
Toute honte bue, le président français dépêche en ce moment, des émissaires français dans des capitales africaines, pour essayer de redorer le blason. Arguant que sa lettre à Youssouf Bakayoko (Cei), dans laquelle il lui enjoignait, à mots couverts, de prononcer les résultats de l’élection présidentielle du 28 novembre 2011, en Côte d’Ivoire, en faveur du candidat Alassane Dramane Ouattara, n’a jamais existée. Une manipulation française qui ne dit pas son nom. Mais le Président sud-africain Jacob Zuma à qui il a voulu faire avaler le gros mensonge, a refusé de recevoir l’Ambassadeur de France (en Afrique du Sud). Ce dernier avait été dépêché par son patron auprès du président sud-africain, pour remettre en cause « l'authenticité » de la lettre du Président français Nicolas Sarkozy à Youssouf Bakayoko.
Trop tard. Cette fameuse lettre qui a précipité la Côte d’Ivoire dans un conflit post-électoral a été déjà présentée à Sem Jacob Zuma ainsi qu’aux Présidents Jakaya Kikwete de la Tanzanie, Idriss Deby du Tchad et Mohamed Ould Abdel Aziz de la Mauritanie, par le Président Laurent Gbagbo de la Côte d’Ivoire, lors de leur mission
du Panel de l’Ua à Abidjan. Il en sera de même partout où le fils chanceux de M. Nagybócsai Sárkozy Pál tentera de cacher le soleil avec la main. A cette allure, il faut s’attendre que Sarkozy fasse le tour des Palais présidentiels des chefs d’Etat membres du Panel de l’Ua, dans la crise ivoirienne qu’il a créée de toutes pièces. Mais des humiliations successives l’attendent. Son système de lobbying prendra ainsi un coup dur dans sa volonté de nuire à un peuple qui ne demande que le respect de sa souveraineté. Et c’est tant mieux ainsi !

Frimo D. K (Quotidien LE TEMPS)

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LETTRE DU PRESIDENT FRANÇAIS A YOUSSOUF BAKAYOKO

Nicolas Sarkozy ou les errements et élucubrations d'un président français
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La vérité finira par éclater. Ceux des Ivoiriens encore habités par le doute et une opinion internationale, dont Barack Obama et son administration abusés, finiront par découvrir les tenants et aboutissants de la forfaiture que Nicolas Sarkozy a orchestrée pour recoloniser la Côte d'Ivoire.
La lettre de Sarkozy au président de la Commission électorale indépendante rendue publique par INFOSCOTEDIVOIRE.NET et d'autres journaux ivoiriens montre, entre autres, pourquoi les Ivoiriens, par millions font échec au coup d'Etat électoral qui visait à installer dans le fauteuil présidentiel le chef rebelle Dramane Ouattara. Analyse ...

Écœurant, dégoûtant, révoltant. Mais en même temps, terriblement rassurant. Extraordinairement réconfortant. Or donc, Sarkozy est mêlé, au-delà de toute raison, jusqu'à en être complètement sali, au bourbier ivoirien, s'il n'en est pas le concepteur ! La lettre que, de sa propre main, le petit hongrois devenu (O triste coup de l'Histoire) président de la République française, a signée et qui est adressée au président de la Commission électorale indépendante de Côte d'Ivoire, Youssouf Bakayoko, est tellement révélatrice, qu'il faut simplement remercier Dieu qu'elle existe.
Cette correspondance datée du 1er décembre 2010 contient tout. Elle dit tout. C'est une mine d'or que nous allons décortiquer. La lettre, enfin rendue publique, adressée par Nicolas Paul  Stéphane SARKÖZY de NAGY-BOCSA, Hongrois, devenu Français, fils d'immigré hongrois, trahit l'implication de la France, au plus haut niveau, dans le ... bordel instauré, à dessein, en Côte d'Ivoire.
O honte SARKÖZY de NAGY-BOCSA !
Parce que le petit président agité de France écrit à Youssouf Bakayoko aujourd'hui exfiltré vers la France où il séjourne à présent, bien en sa qualité de « président de la République ». Il ne parle pas en tant qu'individu ordinaire qui aurait pu avoir des préférences tout à fait compréhensibles. Il parle d'autant plus au nom de la « grande France » qu'il écrit très clairement : «...la République Française que je représente s'engage à protéger toutes les personnes qui permettront ... ». O honte SARKÖZY de NAGY-BOCSA !
Pour achever de convaincre le bon nègre docile mais craintif, Youssouf Bakayoko, individu veule sans relief, manifestement traitre à la patrie, Sarkozy donne des précisions : «Vous disposerez du soutien sans faille de notre Ambassadeur, du Ministère des Affaires Etrangères pour une facilitation de votre mission. Afin de nous permettre d'orienter au mieux nos démarches diplomatiques, il est nécessaire que notre Ambassadeur soit informé de façon quasi automatique de la suite des événements.» Le petit président de la « grande France » dans les petits complots de bas étages. O honte SARKÖZY de NAGY-BOCSA !
On le voit, les dés étaient pipés dès le début, et le plan diabolique savamment concocté depuis bien longtemps. Il restait à trouver un autre homme de paille après que Beugré Mambé, un autre nègre de service ait failli faire échouer la manœuvre par des inscriptions massives frauduleuses. Et c'est Youssouf Bakayoko qui a été le ministre des Affaires Etrangères (donc chef de la diplomatie ivoirienne et partant patron de nos ambassadeurs) de la Côte d'Ivoire ( !?) mais à qui le président français sert du « SEM l'ambassadeur ...» pour mieux le ramener à sa taille, qui enfile le manteau déshonorant de la forfaiture.
En effet, alors qu'il montait sur ses grands chevaux de président d'une institution qui devait apparaître comme digne et indépendante,  à équidistance de tous les courants d'influence pour servir avec honneur la cause de notre pays, cet homme qui ne brille pas par sa stature avait depuis longtemps fait le choix d'être un autre valet au service du colon des temps modernes. Il prenait ses ordres auprès de l'Elysée. Comme le révèle le locataire des lieux : « A la suite de note communication téléphonique ... ». Si avec Goodluck Jonathan, le président du Nigéria, un autre suppôt de l'impérialisme, ce sont plus de douze coups de fils que passait SARKÖZY de NAGY-BOCSA, on imagine aisément que l'ex-député maire de Séguéla, capitale de la rébellion ivoirienne, Youssouf Bakayoko, en a reçu des milliers. O honte SARKÖZY de NAGY-BOCSA !
Les dés étaient pipés depuis longtemps avec SAGEM Sécurité, entreprise française, imposée par les opposants à Laurent Gbagbo comme un des deux opérateurs techniques du processus. SAGEM devant confectionner les listes électorales, éditer les cartes d'électeurs, établir les nouvelles cartes nationales d'identité. Tout cela à un prix scandaleusement élevé. Des milliards pour une opération bâclée visant à recoloniser un pays indépendant en imposant à sa tête un mossi, fils d'immigré voltaïque, Mossi Dramane. O honte SARKÖZY de NAGY-BOCSA !
Pour se donner bonne conscience, SARKÖZY de NAGY-BOCSA travestit de façon grossière l'histoire, pourtant en cours d'écriture, de la Côte d'Ivoire en se fendant de commentaires honteux et indignes d'un chef d'Etat. Sauf à ne pas être en possession de toutes ses facultés lorsqu'il rédigeait ces lignes d'une extrême gravité, puisqu'on a déjà vu le président français ivre, il a osé coucher sur papier : « ce peuple opprimé qui aspire depuis bien longtemps à une démocratie, une paix et à la recherche d'une stabilité perdue depuis près d'une décennie. L'histoire vient de faire de vous la sentinelle de cette liberté recherchée, et cela compte tenu de vos responsabilités au sein de  l'appareil en charge d'énoncer les résultats des élections présidentielles et surtout de dire la vérité sur les votes du peuple ivoirien. » O honte SARKÖZY de NAGY-BOCSA !
Quand un chef d'Etat s'est mis dans la posture où SARKÖZY de NAGY-BOCSA s'est mis, s'agissant de la Côte d'Ivoire ; quand par ses errements il est descendu dans l'arène en jouant avec la vie de nombreux Ivoiriennes et Ivoiriens ; quand les petits calculs de cette France nauséeuse font que des citoyens ivoiriens sont systématiquement massacrés depuis 2002, en permettant que de paisibles citoyens plongent brutalement dans la précarité, dans le dénuement total, on ne peut pas résister à la tentation de qualifier SARKÖZY de NAGY-BOCSA de fieffé menteur.
Si, comme il le dit sans gêne, le peuple ivoirien qu'il qualifie d'opprimé, « aspire depuis bien longtemps à une démocratie, une paix et à la recherche d'une stabilité perdue depuis près d'une décennie » le président français ne devrait pas parler comme s'il ne sait pas que ce sont eux les Français qui sont les artisans de la déstabilisation de la Côte d'Ivoire depuis 2002. Les Blaise Compaoré, tuteur de la rébellion, Alassane Dramane Ouattara, le chef rebelle, Soro Guillaume, le petit gros fort en gueule, et leurs hordes de petits criminels drogués et sanguinaires n'étant que ses instruments de la déstabilisation. Ce qui n'amoindrit en rien leur lourde responsabilité devant l'Histoire. Puisqu'ils ont accepté, devant dieu et les hommes, d'être les exécuteurs des basses manœuvres des négriers français des temps modernes. O honte SARKÖZY de NAGY-BOCSA !
La France est d'autant plus en première ligne dans cette aventure d'un autre âge qu'elle a voulu parachever, en novembre 2004, l'œuvre entreprise. Puisque cela coinçait, mais que les néo colonisateurs ne voulaient pas démordre, c'est sur le terrain du hold-up électoral que les « stratèges » des minables officines de la françafrique tapies à l'Elysée ont concentré tous leurs efforts. La menace d'intervention militaire n'étant jamais trop loin. Raison pour laquelle, comme nous le soulignions dans ces mêmes colonnes, c'est l'ex-chef de la Licorne, force française en appui de l'ONUCI, la force onusienne, le général  Emmanuel Beth qui est depuis le 4 août 2010, le nouvel ambassadeur de France au Burkina Faso.
Les péripéties scabreuses qui se succèdent actuellement sont tout aussi indignes que déshonorantes pour un grand pays comme la France qui se targue d'être le pays de la déclaration universelle des droits de l'homme. Même si on entend parler et on voit agir celui qui semble être aux commandes de la République fictive du Golf Hôtel, la marionnette Dramane Ouattara (nominations fantaisistes des ambassadeurs, éviction de l'Ivoirien Philippe Dacoury-Tabley précédemment gouverneur de la BCEAO, sanctions clownesques et illégales contre la Côte d'Ivoire par les pays de l'UEMOA, sanctions de l'Union Européenne contre les membres de l'équipe du président élu Laurent Gbagbo, sanctions contre les paysans ivoiriens, fermeture des banques françaises installées en Côte d'Ivoire) on sait que c'est la France de ce fils de hongrois qui agit ouvertement. O honte SARKÖZY de NAGY-BOCSA !
La lettre du petit président français à Youssouf Bakayoko est aussi révélatrice de ce que la mafia qui veut soumettre les Ivoiriens a des ramifications et de solides complicités au sein de la plupart des membres de l'Union Européenne. En effet, sûr de son coup, SARKÖZY de NAGY-BOCSA n'hésite pas à écrire : « Nous sommes disposés ainsi que toute la communauté de l'Union Européenne à soutenir de façon irrévocable le respect de la volonté du peuple, de sécuriser les civils ainsi que tous les nouveaux représentants des institutions installées.»
Comment, si les dés n'étaient pas pipés, par avance, et si un hold-up électoral n'avait pas été savamment planifié, peut-il être si sûr des résultats ? Résultats qui n'avaient pas encore été donnés puisque la lettre du président de la France devenue Etat-voyou visait justement à demander de proclamer lesdits résultats : «Les textes de la République de Côte d'Ivoire vous offre une marge limitée pour proclamer les résultats provisoires, comme vous le savez mieux que moi-même, et compte tenu de l'attente de votre peuple, je vous exhorte au prononcé du verdict des urnes.»
Or donc les résultats que Youssouf Bakayoko devait prononcer, même s'il les avait prononcés dans les délais légaux, ne devaient être que des résultats pro-vi-soi-res ? D'où vient-il donc que non seulement ces résultats n'ont jamais été prononcés, dans les délais légaux, mais qu'ils sont brandis aujourd'hui comme les seuls résultats qui deviennent du coup dé-fi-ni-tifs à partir desquels il y a cette reconnaissance dite internationale de Dramane Ouattara comme président élu ? Non. C'est grotesque, inacceptable, insultant lamentable.  Et pourtant, c'est en se fondant sur cette forfaiture que SARKÖZY de NAGY-BOCSA a eu le toupet de donner un ultimatum de ... 48 heures à Laurent Gbagbo pour qu'il cède le pouvoir à son pantin Dramane Ouattara, chef de la rébellion. O honte SARKÖZY de NAGY-BOCSA !
Par ailleurs, comment, peut-on nier encore aujourd'hui, si on est sain d'esprit, que les dés n'avaient pas été volontairement pipés ? Comment soutenir que tout n'a pas été savamment manigancé depuis le début, par SARKÖZY de NAGY-BOCSA et ses hommes pour réussir le hold-up électoral ? Autrement, on s'expliquerait difficilement, alors même que les résultats officiels ne sont pas encore connus, que le petit président de la grande France s'engage avec une certitude absolue sur les résultats : «Nous sommes disposés ainsi que toute la communauté de l'Union Européenne à soutenir de façon irrévocable le respect de la volonté du peuple, de sécuriser les civils ainsi que tous les nouveaux représentants des institutions installées... la République Française que je représente s'engage à protéger toutes les personnes qui permettront à la République de Côte d'Ivoire d'aller enfin vers une vraie démocratie, pour enfin établir l'unité nationale tant recherchée.»
Comme on peut le lire sous la plume de ce président français qui n'en n'est pas à une contradiction près et qui aime jouer les donneurs de leçons, les résultats ne sont mêmes pas encore connus qu'il parle déjà, des « nouveaux représentants des institutions installées ». Pauvre Afrique ! Voilà comment, aussi longtemps qu'on n'y voyait que du feu, les négriers et autres colons t'ont fabriqué la démocratie. Voilà la démocratie qui est bonne pour l'Afrique aux yeux des bons penseurs de l'Union Européenne qui font pleuvoir un déluge de sanctions aussi injustifiées qu'ahurissantes et franchement drôles, sur la tête du peuple ivoirien debout.  Et le sieur SARKÖZY de NAGY-BOCSA ose parler de « vraie démocratie ». Quelle hérésie ! O honte SARKÖZY de NAGY-BOCSA !
Oui, les dés étaient pipés puisque SARKÖZY de NAGY-BOCSA qui réglait les détails de la mécanique, en violation flagrante de la souveraineté et de l'indépendance de la Côte d'Ivoire, avait déjà planté le décor de ce que devait être l'appréciation générale sur le déroulement du second tour : «Le processus a été achevé de façon juste et équitable d'après les rapports établis par toutes les parties prenantes au processus, c'est le moment pour votre institution et de votre propre personne, de vous acquitter de votre mission avec rigueur car le peuple ivoirien s'est clairement prononcé et sans équivoque.»
Si les choses ont ainsi été planifiées, qu'allaient dire les prétendus observateurs de l'Union Européenne ? Que pouvait dire un autre pantin, le Sud-Coréen Young Ji CHOI, patron de l'ONUCI, représentant de l'inénarrable Ban Ki-Moon si ce n'est abonder dans le même sens que le maître français SARKÖZY de NAGY-BOCSA !
La presse française ne pouvait dès lors que réciter une leçon bien apprise, avec entre autre mission, discréditer totalement les observateurs de l'Union Africaine et des autres observateurs africains.

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