Saturday, October 9, 2010

Côte d'Ivoire: President Gbagbo's Model for Peace


 
July 7, 2008

At a time when much of the world is embroiled in seemingly irreconcilable disputes, one African nation has emerged as a leader in conflict resolution. As they move away from civil war and towards national elections in November, Côte D’Ivoire is rapidly becoming a symbol of what is possible.
Delegates to the United Nations' "Group of 77 Conference" arrived in Côte D’Ivoire last week and were greeted by a nation hard at work on the task of reconciliation and reconstruction. After closing the book on a traumatic period of internal discord, the Ivorian people have united with an unprecedented spirit of national pride, under the leadership of President Laurent Gbagbo, who is determined to establish their Republic as a showcase of West-African social and economic achievement.
Members of the U.N. delegation and the accompanying press corps may have expected to find another factionalized African country in the midst of the turmoil that has characterized the continent during the last few months. What they found instead was a proud people, moving forward under the confident leadership of President Gbagbo.
His efforts to bind the country together over the last few years have met with extraordinary success, a success that may serve as a model for other countries facing severe internal strife and external threat.
In a country that has been beset by civil war and foreign interventions, President Gbagbo has emerged as a figure of great personal courage and a visionary of historic proportions.
Shortly after his election to the presidency in 2000, he set forth his mission to reclaim the sovereignty of Côte d'Ivoire from international control. Among the promises he made to his people was the commitment to open expiring commercial contracts (then largely controlled by French interests) to the bidding process, and to rebuild the economy of his country.
An attempted coup d'etat in 2002, timed to coincide with Gbagbo's state visit to Italy, spelled the beginning of a new period of unrest. When France invited him to sit out the hostilities in Paris, Gbagbo declined and returned to Abidjan, the former administrative capital of Côte d'Ivoire. "I would rather die in my country," he said, "than live in exile in France."
The coup failed, but it was followed by a civil war that tore the country apart. In 2004, most of the Ivorian military aircraft were destroyed by French forces, which strengthened its military presence there.
The war also brought the United Nations into Côte d'Ivoire. They mandated a division of the country and set up a buffer zone between the south and the north, leaving President Gbagbo with a broken country.
In March 2007, after several attempted peace treaties, Laurent Gbagbo broke the cycle of war by reaching out to his adversaries.
He extended his hand to the leader of the rebel New Forces, Guillaume Soro, and to Blaise Compaoré, president of neighboring Burkina Faso, who was invited to serve as broker and mediator. The outcome of this courageous act of diplomacy was the Oaugadougo Peace Accord, a shared government was created, in which Soro assumed the position of Prime Minister. The accord was signed on March 4, 2007.
Over the last year, the results have been unprecedented. The separation zone has been dismantled, and the country is once again unified. People can now travel freely between north and south. Prime Minister Soro has supervised the disarmament, bringing former rebels into training programs from which they can enter national service.
On the economic scene, President Gbagbo has spear-headed a project aimed at expanding the port of Abidjan, in order to increase its ship-handling capacity to 4,000 containers. The project is aimed at providing Cote d'Ivoire with a strong infrastructure that will include the improvement of airports, roads and railways, and will elevate the nation's stature in the world of commerce.
Many challenges still remain. The volatility of the global economy has sent food prices soaring, and pockets of local corruption still plague President Gbagbo's efforts to achieve his dream of returning Côte d'Ivoire to its former prosperity. But he is firm in his determination.
"I am going to flush out corrupters," he said recently. "My first fight was to put an end to the war. Now that the war is over, my next fight is to crackdown on corrupters to free Cote d'Ivoire from this cancer."
The future will no doubt hold difficult challenges for Gbagbo as he faces re-election in November. But he is determined to build a new Côte d'Ivoire that will reclaim its former prominence as a leader among African nations. With the support of his people, who have enthusiastically embraced their new national pride, his program provides a strong basis for success and a model for other nations.


Côte d'Ivoire:
Gbagbo Président de modèle pour la paix

7 juillet 2008

À une époque où la plupart des pays est en proie à des différends apparemment inconciliables, une nation africaine est apparue comme un chef de file dans la résolution des conflits. Comme ils se déplacent loin de la guerre civile et en vue des élections nationales en Novembre, la Côte d'Ivoire est en train de devenir un symbole de ce qui est possible.
Les délégués à l'Organisation des Nations Unies "Groupe des 77 Conférence" sont arrivés en Côte d'Ivoire la semaine dernière et ont été accueillis par une nation en plein travail sur la tâche de réconciliation et de reconstruction. Après la fermeture du livre sur une période traumatisante de dissensions internes, le peuple ivoirien se sont unis dans un esprit de fierté nationale sans précédent, sous la direction du président Laurent Gbagbo, qui est déterminé à établir leur République comme une vitrine de l'Ouest-africain économique et social réalisation.
Les membres de la délégation de l'ONU et de la presse accompagnant peut s'attendre à trouver un autre pays divisé en factions africains dans le milieu de la tourmente qui a caractérisé le continent au cours des derniers mois. Ce qu'ils ont trouvé à la place était un peuple fier, aller de l'avant sous la direction confiance du Président Gbagbo.
Ses efforts pour lier l'unité du pays au cours des dernières années ont connu un succès extraordinaire, un succès qui peut servir de modèle pour d'autres pays confrontés à de graves dissensions internes et les menaces extérieures.
Dans un pays qui a été en proie à la guerre civile et des interventions étrangères, le Président Gbagbo est apparu comme une figure de grand courage personnel et un visionnaire des proportions historiques.
Peu de temps après son élection à la présidence en 2000, il expose sa mission de récupérer la souveraineté de la Côte d'Ivoire de contrôle international. Parmi les promesses qu'il a faites à son peuple a été l'engagement d'ouvrir expirant contrats commerciaux (alors en grande partie contrôlé par des intérêts français) au processus d'appel d'offres, et de reconstruire l'économie de son pays.
Une tentative de coup d'Etat en 2002, pour coïncider avec visite d'Etat du président Gbagbo à l'Italie, a sonné le début d'une nouvelle période de troubles. Lorsque la France l'a invité à siéger à des hostilités à Paris, Gbagbo a diminué et est retourné à Abidjan, l'ancienne capitale administrative de la Côte d'Ivoire. "Je préfère mourir dans mon pays, dit-il,« que de vivre en exil en France. "
Le coup d'Etat manqué, mais elle a été suivie par une guerre civile qui a déchiré le pays. En 2004, la plupart des aéronefs militaires ivoiriens ont été détruits par les forces françaises, qui a renforcé sa présence militaire.
La guerre a aussi amené l'Organisation des Nations Unies en Côte d'Ivoire. Ils ont mandaté une division du pays et mettre en place une zone tampon entre le sud et le nord, laissant le Président Gbagbo avec un pays brisé.
En Mars 2007, après plusieurs tentatives de traités de paix, Laurent Gbagbo a brisé le cycle de la guerre en tendant la main à ses adversaires.
Il tendit la main à la chef du mouvement rebelle des Forces nouvelles, Guillaume Soro, et Blaise Compaoré, président du Burkina Faso voisin, qui a été invité à siéger à titre de courtier et de médiateur. Le résultat de cet acte courageux de la diplomatie a été le Oaugadougo Accord de paix, un gouvernement partagé a été créé, dans lequel Soro a assumé le poste de Premier ministre. L'accord a été signé le Mars 4, 2007.
Au cours de la dernière année, les résultats ont été sans précédent. La zone de séparation a été démantelé, et le pays est à nouveau unifié. Les gens peuvent maintenant Voyage librement entre le nord et le sud. Le Premier ministre Soro a supervisé le désarmement, ce qui porte les anciens rebelles dans les programmes de formation à partir de laquelle ils peuvent entrer en service national.
Sur la scène économique, le Président Gbagbo a lance-dirigé un projet visant à étendre le port d'Abidjan, en vue d'accroître sa capacité de manoeuvre des navires à 4.000 conteneurs. Le projet vise à fournir à la Côte d'Ivoire avec une solide infrastructure qui comprennent l'amélioration des aéroports, des routes et des chemins de fer, et élever le statut de la nation dans le monde du commerce.
De nombreux défis demeurent. La volatilité de l'économie mondiale a envoyé flambée des prix alimentaires, et des poches de corruption au niveau local continuent de sévir dans les efforts du président Gbagbo de réaliser son rêve de retourner en Côte d'Ivoire à son ancienne prospérité. Mais il est ferme dans sa détermination.
"Je vais pour débusquer les corrupteurs", at-il dit récemment. «Mon premier combat a été de mettre un terme à la guerre. Maintenant que la guerre est finie, mon prochain combat est de répression contre les corrupteurs de libérer la Côte d'Ivoire à partir de ce cancer."
L'avenir sera sans doute difficile pour tenir défis Gbagbo comme il fait face à sa réélection en Novembre. Mais il est déterminé à bâtir une nouvelle Côte d'Ivoire qui va récupérer son importance d'autrefois comme un chef de file parmi les nations africaines. Avec le soutien de son peuple, qui ont accepté avec enthousiasme de leur nouvelle fierté nationale, son programme fournit une base solide pour la réussite et un modèle pour les autres nations.
 
 GUITOET DE BALLIET

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