Friday, October 8, 2010

SOUVENEZ-VOUS DE CES MOMENTS FORTS DE LA POLITIQUE EN COTE D'IVOIRE




Affi à la diaspora sur Ivoirenews.net: “Bedié fait des  tournées pour dire au revoir aux Ivoiriens”

“C'est pour dire au revoir à ses anciens collaborateurs et aux Ivoiriens qu'il avait abandonnés dans les griffes de Guéi et de ses soldats en 99 que Bédié parcourt le pays en ce moment. Sinon ce politicien périmé n'a plus rien à proposer qui puisse intéresser le peuple de Côte d'Ivoire”.
C'est par ces mots que le Premier ministre Affi N'Guessan, président du Front populaire ivoirien, a répondu aux préoccupations de M. Serge Gnahoua, homme de média basé au Minesota, qui ne comprenait pas les sorties subites du vieil homme ces derniers mois. C'était au cours de la dernière édition de l'émission “Jacque Roger reçoit” sur Ivoirenews.net, la très célèbre “radio panafricaine non-stop” qui émet depuis Washington DC. aux Etats- Unis et bien connue des hommes politiques ivoiriens.
Le président Affi a d'entrée rassuré ceux qui s'insurgent contre la décision du Président ivoirien d'ajourner la signature du décret relatif à la date des élections ; décret proposé par la CEI, en leur demandant de “comprendre d'abord ce que le terme de “proposition de décret” signifie” . Ainsi, comme pour clouer le bec à tous les adeptes des amalgames qui pensent que le chef de l'Etat doit signer comme ça, toutes les propositions qu'on lui tend, le président du FPI a insisté pour dire que “la signature du Président Gbagbo l'engage. Il ne peut pas continuer à signer des documents avec des propositions de date sans qu'on ne lui présente le moindre début de preuves selon lesquelles les étapes franchies permettent de tenir le délai proposé. Il a fait confiance par le passé en signant des décrets fixant les dates des élections, mais quand ces dates n'ont pas été tenues, l'on s'est plu à prendre le raccourci pour dire que c'est lui Gbagbo qui ne veut pas aller aux élections”. Le Premier ministre Affi soutient donc le Président de la République pour “qu'il ne se laisse pas distraire par les bruits de ces éternels comédiens qui parlent comme si c'étaient eux qui aimaient vraiment les élections dans ce pays”. Il soulignera à cet effet, que “le Fpi est d'ailleurs le seul parti qui peut aller aujourd'hui à la rencontre des électeurs la tête haute car tous les scandales dont les soi-disant opposants se servent aujourd'hui comme projets de société ne sont pas le fait du gouvernement Fpi” que lui Affi a dirigé de 2000 à 2002.
Les justifications données par le premier responsable du Fpi sont que “personne n'a parlé de détournements, encore moins de déchets toxiques en son temps”. L'ex-Premier ministre du Président Gbagbo rappellera que “la seule personne responsable des déchets toxiques était bien Konan Banny qui l'avait d'ailleurs reconnu en remettant sa démission au chef de l' Etat”. Pour M. Affi donc, “ceci n'est pas une opinion, mais juste des faits vécus par tous les ivoiriens même si certains, par des pirouettes de magiciens, se débrouillent pour y voir la main du Fpi”.
Toujours sur la question des élections qui est revenue de façon récurrente, élections que certains leaders exigent “maintenant, maintenant” alors que le désarmement n'est pas encore terminé et que seulement près de 70% de la population ont pu être enrôlés, le président Affi a une fois de plus évoqué le bon sens qui veut que “ces étapes importantes soient franchies avant de parler d'élections”. Comment cela pouvait-il en être autrement quand on se rappelle que cette guerre a été imposée à la Côte d'Ivoire sous de fallacieux prétextes d'ivoiriens exclus auxquels l'on a refusé des papiers? “Pourquoi se résoudre alors, s'est écrié Affi N'Guessan, “d'exclure 30% d'entre eux ?” Cette perception qui n'est qu'une simple logique devrait, selon lui, “amener la CEI à aller jusqu'au bout de l'opération - même s'il ne faut pas s'attendre à 100% d'enrôlés - afin que la quasi -totalité des ivoiriens ai ses papiers pour éviter le retour des adeptes de la pagaille”.
Interpellé sur les raisons de son optimisme quant aux consultations présidentielles que son parti pense gagner au premier tour, le ¨Premier ministre Affi compte sur “la même grande majorité d'ivoiriens qui avait défendu le pays et soutenu le président Gbagbo en 2002 contre des “caïmans sortis des pipi” de nos adversaires politiques qui font aujourd'hui comme s'ils aimaient réellement ce peuple” . Le président des frontistes se frotte donc les mains, car il sait que “ces mêmes ivoiriens, après cette lutte de 2002, n'auront aucune raison sérieuse de soutenir en 2009 les vrais responsables des malheurs de la Côte d'Ivoire”.

Correspondance particulière (New York) Mathieu Bouabré: mattbouabre@yahoo.com

Scandale au Ministère des Transports: Mabri au centre d’un vol organisé
13-11-2007
Les difficultes de la succession d'Houphouet Boigny plonge la Cote d'Ivoire dans une situation de crise inconsolable dont les solutions trainent a trouver.
En cas de décès du chef de l’Etat, les modalités de sa succession sont clairement définies par l’article 11 de la constitution qui stipule que le Président de l’Assemblée nationale doit assurer les fonctions de chef de l’Etat jusqu’au terme du mandat en cours, c’est à dire jusqu’en décembre 1995. Méprisant totalement ces dispositions, Alassane Ouattara va engager une véritable épreuve de force, contestant la légitimité du Président Henri Konan Bédié, le successeur naturel, refusant de présenter sa démission et manœuvrant pour rallier l’armée et notamment son chef d’Etat major, le général Gueï. Face à un comportement bafouant aussi ouvertement les règles et les principes démocratiques, la presse occidentale mais aussi les responsables politiques marquent leur très vives réprobation envers le comportement d’Alassane Ouattara qui, totalement désavoué, finira de mauvaise grâce par s’incliner, laissant à ses successeurs une situation financière, économique et politique, que beaucoup d’observateurs décrivent comme irréparable et inextricable. Que constatent les ivoiriens au moment de cette crise constitutionnelle qui secoua la CI leur Pays apres la mort du grand bellier de Yamoussoukro?   C'est malheureux  et honteux pour un Pays comme la CI qui a une constitution sur laquelle pietine un etranger, Allassane Dramane Ouattara car c'est de lui qu'il s'agit pour rendre ce Pays ingouvernable. Que dit notre constitution en cas de deces ou de vacance du President de la Republique? Ensemble suivons donc les attitudes morales et physiques de Monsieur Allassane Dramane Ouattara apres le deces du President Houphouet Boigny? En dépit du deuil national proclamé  à l'occasion de la mort du'Père'de la nation ivoirienne et de la déclaration du Président de l'Assemblée Nationale, Henri Konan Bédié, s'arrogent la fonction de Président de la République, le Premier ministre, Alassane Ouattara, son rival de toujours et candidat à la succession, refuse de déposer les armes. Le chef du gouvernement convoque dans la plus grande discrétion son ministre de la Défense et le chef d'Etat-major des armées, qui l'auraient, affirme t-on à la primature, assuré de leur entière loyauté. La veille déjà, il avait saisi la Cour suprême, réclamé qu'elle constate officiellement la vacance du pouvoir et, au terme du délai nécessaire, installe un nouveau président de la République. Pour ma part, visiblement inquiet de cette manoeuvre, donnant l'impression de respecter la loi fondamentale, Allassane Dramane Ouattara a ignore le nouveau 'President' pour concerver sa qualite de Premier Ministre. Plus qu'un simple défi à l'héritier constitutionnel, Ouattara vient d'engager un bras de fer politico-éthnique aux conséquences imprévisibles. Originaire du Nord, musulman et membre de l'ethnie Sénoufo selon lui et contrairement aux pensees des ivoiriens, Alassane Ouattara réunit aussi sous sa bannière les industriels ivoiriens et occidentaux.   Aujourd'hui nous assistons a une crise de succession problematique. Les modalités de la succession sont théoriquement garanties par l'article 11 de la Constitution, qui stipule que le président de l'Assemblée nationale doit assurer les fonctions de chef de l'Etat jusqu'au terme du mandat en cours, c'est-à-dire jusqu'en septembre 1995, date prevue pour les prochaines echeances.  Au soir d'un mardi, Mr. Henri Konan Bédié, Président de l'Assemblée nationale, s'est lui-même investi dans ses nouvelles fonctions, sans autre forme de cérémonie. 'La constitution me confère dans cette dramatique situation les responsabilités dont je mesure le poids, les responsabilités de chef de l'Etat. Je les assume dès maintenant. Le pays sera gouverné par tous les Ivoiriens et étrangers vivant sur notre sol', a déclaré M. Bédié, un avocat de cinquante neuf ans. IL faut de maniere referencielle preciser que Henri Konan Bedie President de l'Assemble Nationale et dauphin constitutionnel, et donc, théoriquement, Président de la République depuis le dernier soupir du'Vieux'. Mais à cette heure précise, rien n'est joué. Bédié sait qu'il faut se battre encore pour entrer en possession du fauteuil, et Ouattara ne désespère pas que les choses se passent autrement que se qui est prévu par la Constitution. Depuis que la maladie du Chef de l'état a pris une tournure irréversible, il s'est peu à peu instauré dans le pays un grand débat, ouvertement encouragé par le Premier ministre , qui tend sinon à remettre en cause les dispositions constitutionnelles relatives à la vacance du pouvoir, du moins à en donner une interprétation suffisamment large pour empêcher que le Président de l'Assemblée nationale hérite du solde du mandat de Félix Houphouët-boigny. Après l'auto proclamation du nouveau 'président' Konan Bédié, le premier ministre Ouattara n'envisage pas de démissionner.  Mardi dans la nuit, le dauphin constitutionnel a reçu le corps diplomatique: les ambassadeurs de France, des Etats-Unis, d'Autriche, de Mauritanie et du Gabon.  Peu avant, un message de François Mitterrand, adressé au'président Bédié' , avait été lu à la télévision. Bien avant la mort d'Houphouët, Paris n'avait jamais caché sa préférence en faveur de la stricte application de la Constitution. En réagissant aussi rapidement, les Français semblent avoir toutefois quelque peu troublé le jeu. De sources très bien informées, il apparaît que le premier ministre Alassane Ouattara, n'envisage à aucun moment de présenter la démission de son gouvernement. Ainsi, dans la matinée, le chef du gouvernement a d'ailleurs reçu le chef de l'Etat major, Robert Gueï, le commandant de l'armée de l'air, le général Coulibaly, le ministre de la Défense, Léon Konan Koffi, et le général commandant de la gendarmerie. Ceux-ci l'auraient assuré de leur 'loyauté'.   En fin de matinée, le porte-parole d'Henri Konan Bédié mettait à nouveau les choses au clair : 'Il est d'usage, affirmait-il, quand un nouveau président arrive au pouvoir, que le gouvernement présente sa démission ».  Une heure plus tard, on mimait l'étonnement à la Primature: 'Nous ne sommes pas au courant, assurait un proche, nous attendons une décision de la Cour suprême'.     Pour l'heure, la confusion est importante. Des négociations de tous azimuts sont engagées, quoique difficile, un compromis de la dernière heure est toujours possible. Une délégation du FMI devait arriver, hier à Abidjan, pour entamer des négociations cruciales.   Aujourd'hui, la Côte-d'Ivoire n'a guère le choix. Le pays n'est pas en mesure de se payer une crise politique.   La question qui me vient en esprit est que Allassane Dramane Ouattara sait-il que la Cote d'Ivoire est dotee d'une constitution qui doit etre respectee dans son ensemble par tout individu morale et physique?   A cette polémique autour de la succession de Félix Houphouët-boigny Mr. Alassane Ouattara n'a pas expressément affirmé qu'il ne reconnaissait pas l'autorité d'Henri Konan Bédié, mais ses collaborateurs confient qu'il a été 'surpris de la rapidité avec laquelle les messages de soutien à Konan Bédié sont arrivés de Paris'. Selon eux, le premier ministre s'attendait' à plus de subtilité de la part de la France, Pays qui nous a beaucoup appris'. Les proches du premier ministre affirment que celui-ci est soutenu par l'armée dont les responsables seraient venus 'confirmer leur loyauté au gouvernement'. Ces mêmes sources précisent que M. Ouattara a reçu le chef d'Etat major, Robert Gueï, le général commandant la gendarmerie, le chef de l'armée de l'air, le général Coulibaly ainsi que le ministre de la défense, Léon Konan Koffi. 'Je ne comprends pas toute cette agitation autour de la succession. Nous sommes en deuil', a répliqué Henri Konan Bédié de sa résidence de Cocody, le quartier résidentiel d'Abidjan, au bord de la lagune.   Concernant aussi les manœuvres autour de la succession ilserait necessaire de retenir que Alassane Ouattara réunit un mini-conseil de gouvernement, pour étudier les dispositions à prendre.Très vite, la séance devient houleuse: le Premier ministre est ouvertement désavoué par certains de ses ministres, qui ne comprennent pas que l'on cherche ainsi à différer l'entrée en vigueur des dispositions prévues par la Constitution. Le ministre des Affaires étrangères dit ne pas comprendre toutes ces gesticulations, qui tendent à semer la confusion dans l' esprit des Ivoiriens, alors que les textes sont sans ambiguïté. Amara Essy, le fin diplomate, annonce avec fracas sa démission de ce gouvernement qui commence, selon lui, à enter dans l'illégalité.                                                                                                                         Fort de la légalité, du soutien de l'armée et de la France, Henri Konan Bédié disposait d'atouts maîtres. Face à cela, le Premier ministre menait depuis deux jours une partie de poker menteur qui, si elle pouvait déstabiliser le dauphin, avait peu de chances de le faire partir. D'autant que, pendant les dernières 24 heures, les pressions s'étaient multipliées. La paie de novembre d'une partie des cent mille fonctionnaires ivoiriens n'a pas été versée. Des grèves ont éclaté. Et l'opposition agite la menace de troubles sociaux. Ployant sous une dette extérieure de 80 milliards de francs, le pays navigue en permanence au bord de la rupture.  La France elle, a averti: à compter de février, elle n'assurera plus les fins de mois. Faute de moyens. Le solde global des échanges avec l'Afrique et non avec la Côte-d'Ivoire, comme indiqué par erreur- est certes positif de 6 milliards de francs. Mais l'aide publique de la France à l'ensemble du continent est estimée à 40 milliards de francs. Pour avoir voulu jouer un rôle politique, l'économiste, ancien directeur du FMI et ex-gouverneur de la Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest (BCEAO), Le nomme Allassane Dramane Ouattara, appelé à la rescousse en novembre 1990 par un Président ivoirien confronté à une grave crise économique, se voit donc écarté de la scène par le fait de son attitude anticonstitutionnelle. Ainsi Bédié rassure Ouattara , mais perçoit comme un profond mépris le fait que le Premier ministre n'a pas daigné aller lui présenter sa démission, préférant la ' jeter sur la place publique'. Ouattara est convoqué chez Bédié. Il demande que la presse n'assiste pas à cette rencontre. Et arrive en bras de chemise, ce que le chef de l'Etat perçoit comme une forme supplémentaire de mépris, non pour sa personne, mais pour la République.
Le premier ministre Alassanne Ouattara Technocrate de son etat, choisi  par Félix Houphouët-Boigny et le PDCI-RDA en 1990  pour tenter de redresser l'economie ivoirienne a complètement échoué la ou certains ivoiriens nantis de grands diplomes pouvaient mieux reussir. Cela a entrainer la CI dans un desastre economique total qui perdure jusqu'a ce jour. Ainsi, l'annee 1993 restera comme une année dramatique dans l’histoire de la Côte-d’Ivoire. Ce bilan économique désastreux  et les tensions sociales qui en découlent obligent Monsieur Allassane Dramane Ouattara à promulguer une loi anti-casseur et à réprimer sévèrement l’opposition. Au même moment, la maladie, puis la longue agonie du Président Houphouët-Boigny, exacerbent les intrigues et les ambitions, et accroissent l’angoisse au sein de la population.
Allassane Dramane Ouattara serait-il l'homme de la situation en Cote d'Ivoire?             suivons les premices de ses donnees pour mieux apprecier la portee de cette question.  Le President Houphouet Boigny n'ayant pas confiance aux ivoiriens a choisi d'imposer un Burkinabe en la personne de Allassane Dramane Ouattara comme Premier Ministre de sonPays.                                                                                                                                          En avril 1990, Monsieur Alassane Ouattara (puisqu’il s’agit de lui) fut chargé par le Président Félix Houphouët-Boigny de présider le « comité interministériel chargé de l’élaboration et de la mise en application du programme de stabilisation et de relance économique », les mauvaises langues se déchaînèrent. Qui pour exprimer son scepticisme quant aux aptitudes du gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (BCEAO) à juguler la crise économique à laquelle est confrontée la Côte d’Ivoire. Qui pour souligner qu’ « il n’est pas un vrai ivoirien ». Dans l'histoire de la Côte-d'Ivoire et sous le gouvernement de Monsieur ADO c'est pour la première fois que les salaires des fonctionnaires ont été payés avec retard. Un phénomène presque banal dans beaucoup de pays voisins, mais qui a véritablement traumatisé les ivoiriens.   Alassane Ouattara dans son dernier discours de Premier ministre, a prévenu que les prochains mois risquent d'être encore plus difficiles. Les caisses de l'Etat sont vides et les bailleurs de fonds étrangers exigent des mesures d'austérité draconiennes, faute de quoi ils cesseront toute aide. N'ayant pas réduit en proportion son train de vie, l'Etat se retrouve affligé d'une fonction publique qui engloutit en salaires les deux tiers de son budget de fonctionnement. C'est ce que les bailleurs de fonds lui demandent de rectifier. Mais le President Felix Houphouët-Boigny ne s'y est pas résolu de crainte des retombées sociales. Son successeur n'y échappera pas. Au vue et au su d'une telle attitude l'opposition (RDR, FPI, lePIT...) se sont manifestes pour reclamer la justice. Aucun decret  d'interdition n'avait ete pris pour susprendre les manifestations de rue du 18 fevrier 1992. Des arrestations ci et la ont eu lieu a outrance. Mr. Allassane Ouattara interroge par une pression francais de la presse, le figaro a dit et je cite: 'il n'y a pas d'état d'urgence. Les arrestations de membres de l'opposition et les mesures de sécurité ont pour objectif de calmer les esprits. Les manifestations n'ont pas été interdites, mais suspendues pour la sécurité de tous. Les esprits sont surchauffés, ils doivent se refroidir. On a suffisamment reproché au gouvernement de manquer de fermeté. Nous ne voulons pas que la violence l'emporte, notre rôle est de calmer les esprits. Les gens arrêtés ont été pris en flagrant délit. Ils sont aux mains de la justice, ce n'est plus l'affaire du gouvernement. La Côte-d'Ivoire est un Etat de droit, je n'ai pas d'instructions à donner à la justice. Les manifestants contestent cet Etat de droit. Le chef de l'Etat est le chef de l'armée. A lui d'apprécier les sanctions à prendre. La commission d'enquête n'a pas révélé ce que l'armée a subi. Grâce à son travail d'enquête néanmoins, les faits ont été établis, mais le rôle de la commission s'arrête là.C'est au chef de l'Etat de prendre les décisions au regard de l'armée et de la nation. On ne peut pas se substituer à lui. Il a été élu démocratiquement'.                                                                      N'y avait-il pas la une justice à deux vitesses avec le Gouvernement du PDCI, Parti au pouvoir en place a son temps abusivement phagocyte par Allassane Dramane Ouattara comme premier Ministre?  Les arrestations des leaders de l'opposition poursuivant son cours abusif amene Allassane Dramane Ouattara a sortir de sa reserve et je cite: 'Le multipartisme continue. M.Wodie, l'un des leaders de l'opposition, a été relâché. J'ai reçu par ailleurs un autre chef de parti. Les libérations vont se poursuivre. Nous respecterons strictement la procédure judiciaire. Si, d'ici une semaine, la justice décide de relâcher Laurent Gbagbo, c'est très bien. Je suis très respectueux du droit et surtout celui du droit des citoyens. Nous n'avons pas à promouvoir Gbagbo, ni à le punir. Il est chef de parti, il a commis des actes, il appartient à la justice de le juger. Je ne connais pas de pays africain où le dialogue est plus présent. Le président de la République parle à tout le monde, reçoit tout le monde. Nous ne voyons aucun intérêt à l'affrontement. Les conséquences seraient dramatiques pour l'économie. Notre recherche de dialogue est permanente. On est démocrate ou on ne l'est pas. Il faut aller jusqu'au bout'.   Alors pour qulle raison peut-on accuser le pouvoir en place, le FPI qui voudrait amener les ivoiriens a concevoir la vraie democratie, la bonne gestion des institutions et les biens de l'Etat pour sortir leur Pays du desastre economique. Nous sommes chaque jour un peu plus nombreux. Massés le long du trottoir à l’entrée de l’office de la main d’œuvre de Côte d’Ivoire (OMOCI), en plein cœur du Plateau, le centre financier et administratif d’Abidjan , les compressés voient leur rang s’élargir avec inquiétude. Cadres ou agents de maîtrise, tous licenciés économiques, ces chômeurs attendent chaque jour en vain depuis des mois, voire des années, d’hypothétiques offres d’emploi. Il n’y a plus rien. Pas une seule embauche. Les entreprises continuent de dégraisser. Nous sommes maintenant près de 6000 dans la même situation à Abidjan » indique l’un deux.   « Depuis l’arrivée d’Alassane Ouattara à la primature, notre situation s’est encore aggravée », dénonce un autre. « Nous ne sommes même plus indemnisés régulièrement. Pendant plusieurs mois, nous n’avons rien touché, bien que la cotisation de 1% sur les salaires ait continué à être perçue. Où va l’argent ? » bien des compressés ont aujourd’hui du mal à cacher leur colère à l’égard du gouvernement. « En 1991, le ministre de l’Emploi et de la fonction publique avait annoncé publiquement la prochaine création de 56000 emplois. Nous n’avons toujours rien vu venir. Le plan de relance, c’est bidon ». Deux ans jour pour jour après l’accession à la tête du gouvernement d’Alassane Ouattara, l’heure est bien à la désillusion dans la capitale ivoirienne.   Dur retour à la réalité pour Alassane Ouattara qui affirmait, lors de son accession à la primature, pouvoir remettre l’économie ivoirienne sur les rails en l’espace de trois ans seulement. Comme le remarque un diplomate : « le problème d’Alassane Ouattara est simple ; c’est un homme seul dans un pays où rien ne compte plus que les réseaux et les relations. Il est perçu par la classe dirigeante comme un étranger, sans légitimité pour bousculer les habitudes. » Isolé des « élites » traditionnelles, le premier ministre est aussi de plus en plus coupé de la population. « C’est un technocrate qui ne connaît pas la Côte d’Ivoire » affirme un chef d’entreprise, traduisant un sentiment très largement partagé. « Il n’y a jamais vécu. Il a toujours été en poste à l’étranger. Imposé par le FMI et la banque Mondiale à Félix Houphouët-Boigny, il a débarqué avec son équipe d’experts et ses schémas tout faits. Il ignore les problèmes du pays.»
Pendant l'agonie du chef de l'Etat ivoirien, la classe politique s'affronte sur la question de l'intérim. Cette agitation politique au chevet du'Vieux's'accompagne d'une multitude de conflits sociaux. De nombreux fonctionnaires attendent encore leur salaire d'octobre. Le personnel hospitalier refuse toujours de re prendre le travail, et le corps enseignant a annoncé qu'il se mettait en grève afin que les salaires des deux derniers mois leur soient versés avant le 5 décembre. Un délai dont le chef de l'Etat ne bénéficiera sans doute pas. Enfin de compte quelle a ete le bilan de Mr. Allassane Dramane Ouattara au cours des trois ans passees au gouvernement d'Houphouet?                                                                 La dure crise economique que traverse aujourd'hui le Pays exacerbe les tensions. Endettee, boudee par le FMI et la Banque mondiale, la Cote d'Ivoire ne se releve pas de la chute des cours de cacao et du cafe, ses principales sources de richesse. Cette crise a cause des difficultes certaines pour payer ses fonctionnaires, alors que les retards de salaires exasperent deja la population. 'Le Pays est gate, Abidjan est moisie', ne cessent de repeter les ivoiriens. C'est dans ce climat tendu et incertain qu'Houphouet Boigny a laisse 'ses enfants'. Et les messages de paix du President, diffuses en permanence par les images d'archives de la television, ne suffisent plus a rassurer des ivoiriens deboussoles.  Au cote de l'endettement, nous assistons a un desastre classique perpetre qui conduit notre pays a la rupture avec les bailleurs de fonds.  Dans les années 70, les économistes classiques vantaient le 'miracle ivoirien'. Ce n'est plus qu'un lointain souvenir: entre 1986 et 1991, les cours du cacao et du café- les 2/3 des exportations ivoiriennes- ont chuté respectivement de 59% et 72%. Le PIB par habitant a baissé de 8,9% en 1990, de 4% en 1991, de 4,9% en 1992 et de 6,2% en 1993 (estimation). Evaluée à une vingtaine de milliards de dollars, la dette a explosé ces dernières années, faisant de la Côte-d'Ivoire le pays au niveau d'endettement par habitant le plus élevé au monde. Cet endettement est original par son ampleur (10% de l'encours de la dette de l'Afrique subsaharienne), la part de la dette privée (30%), celle de la dette multilatérale (20%), l'importance de la dette souscrite à des taux d'intérêt élevés, la prépondérance de la dette à taux flottants (50%) et l'importance des créances libellées en dollars (40%). Si la Côte-d'Ivoire honorait la totalité du service de sa dette, il lui faudrait y consacrer les 3/4 du produit de ses exportations. En raison de son insolvabilité depuis 1991, les sources de financement internationales lui sont coupées, à l'exception des crédits de la Banque mondiale, la France ayant jusqu'ici réglé directement les échéances dues à cette institution. Un nouveau plan d'ajustement structurel doit être négocié avec le FMI avant la fin du premier trimestre de cette année, pour tenter de renflouer l'économie. En effet, l’épreuve de force engagée par Alassane Dramane Ouattara et son comportement anticonstitutionnel va enfoncer la Cote d'Ivoire dans un desordre total.


Un proche du Président Gbagbo réagit : 'L`ivoirité et la xénophobie sont les fruits de la gestion du G7...' L'Inter - 11/27/2004 12:30:02 AM L'inter: M. le conseiller, quelle réaction les propos de M. Ouattara vous inspirent? M. Vassê Diomandé : Avec la situation que vit la Côte d'Ivoire ,une déclaration telle que celle de Dramane Ouattara ne peut que choquer et susciter du dégoût. Ouattara sait très bien que ce concept d'ivoirité qu'il dit être à la base des malheurs de la Côte d'ivoire est un concept né et toujours nourri dans l'entourage de son actuel allié dans le G7 .Jamais le président Gbagbo n'a utilisé ce concept . Même la xénophobie dont il parle, est née de sa politique d'identification des populations vivant en Côte d'Ivoire .C'est lui Ouattara qui l'a instaurée avec la carte de séjour. Cela n'est étranger à aucun Ivoirien . Donc qu'il soit prudent en parlant de la Côte d'Ivoire. Quand il parle de son passage à la tête du gouvernement ivoirien ,outre la xénophobie qui en est née, il a divisé la classe sociale. Au niveau de l'école par exemple, il a différencié les enseignants de par leurs salaires, il a tué le privé en transformant l'intervention de l'Etat en subvention. C'est sous son mandat qu'on été cédés à ses amis certains secteurs clé de l'économie ivoirienne ; la Sodeci, la Cie, la Ci-Telcom....bref . Si nous voulons tout citer nous nous eterniserons ici. Qu'Alassane comprenne donc qu'il est disqualifié pour parler de Côte d'ivoire son pays natal et non son pays d'origine. Qu'il respecte le peuple ivoirien qu'il a suffisamment martyrisé depuis qu'il a promis de le frapper et de le rendre ingouvernable. L'inter : Pour vous donc les critiques du Dr Ouattara formulées contre Gbagbo ne sont pas fondées? M. V.D: Mais écoutez, c'est Dramane Ouattara qui a instauré le tribalisme et la violence dans la politique ivoirienne .Celui-là même qui a appelé les musulmans et les hommes du nord à s'insurger contre leurs autres frères ivoiriens , souhaiter le tribunal pénal international au président Gbagbo ! Cela correspond à Satan qui veut jeter un ange en enfer .Quand il parle de pouvoir violent sous Gbagbo, se souvient-il au moins du 18 février 1992? Sait-il au moins que le président Gbagbo a fait 30 ans d'opposition sans brandir un couteau? Sait-il au moins que les Ivoiriens n'auront jamais connu véritablement de Sukhoï ou de MI-24 ,s'il n'y avait pas eu cette rébellion qui continue de tuer et qui n'existe que pour qu'il soit président ? Non, restons humains et ayons un peu peur de Dieu .Que M. Ouattara décide d'être reconnaissant à la Côte d'Ivoire ... ADO dont le père est mort en tant que chef du village de Sindou est d’origine voltaïque. Il est donc sudiste du Burkina et non nordiste de Côte d’Ivoire. Par ailleurs, il n’est musulman ni par la pratique, ni par le mariage. Qu’un tel individu qui veut tromper Dieu cesse d’exploiter abusivement les vrais musulmans. Sa nationalité varie au gré de ses intérêts : Burkinabé d’origine, Ivoirien par son lieu de naissance successivement Jamaïcain et Français par ses mariages, Américain de par sa formation. C’est un citoyen du monde. Qu’on demande à ses différents pays de tripatouiller leur constitution pour lui permettre d’être candidat à la présidence chez eux.
Gnahoua Serges Diokpo
SG FPI Minnesota - USA -
gnahouadiokpo69@msn.com

Sur les traces de la fortune d'ADO à Ouattara

Comme Charles Konan Banny qu'il a précédé au poste de gouverneur de la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO), Alassane Ouattara est aujourd'hui détenteur d'une importante fortune amassée dans des circonstances quelquefois irrégulières. Incursion dans le jardin secret des avoirs du président du Rassemblement des républicains à travers le monde.

Alassane Dramane Ouattara fait son apparition sur la scène politique après février 1990. A part quelques cadres ivoiriens dont l'ancien chef de l'Etat, Henri Konan Bédié, feus Diaby Aboubacar Ouattara et Lamine Diabaté, ancien ministre d'Etat, et ancien directeur national de la BCEAO qui a été inhumé hier, peu d'Ivoiriens connaissent celui que Houphouët Boigny avait fait venir de Dakar pour sauver son pouvoir en déliquescence. La lutte pour la restauration du multipartisme battait son plein et le front social était en ébullition au moment où Ouattara dépose ses bagages sur les bords de la lagune Ebrié. Président d'un comité interministériel chargé de réfléchir sur les maux qui minent le pays et lui apporter des solutions, il devient six mois plus tard le Premier ministre de Côte d'Ivoire. Ce après la réélection d'Houphouët Boigny pour un autre mandat de cinq ans qui sera dirigé d'une part par Alassane Ouattara (3 ans) et d'autre part par le dauphin constitutionnel Henri Konan Bédié (2 ans soit de 94 à 95). En effet, à partir du 7 décembre, date officielle du décès de Félix Houphouët Boigny, c'est le président de l'Assemblée nationale d'alors qui devient le nouveau chef de l'Etat. C'est lui qui est donc aux commandes au moment où la dévaluation du franc CFA survient. L'ère Bédié venait de s'ouvrir. Mais pendant la première moitié du quinquennat d'Houphouët-Boigny, c'est Alassane Ouattara, en sa qualité de premier ministre, qui dirigera le pays. En l'absence du ''vieux'' très affaibli par la maladie et qui suivait des soins dans un hôpital de l'Hexagone. Le Bélier de Yamoussoukro ne pouvait donc rien contrôler et la gestion du pays revenait de fait à celui qui avait été appelé juste pour donner un coup de fouet à l'économie ivoirienne. L'appétit vient en mangeant, dit l'adage. Ouattara qui s'est fait entourer d'une équipe de politiciens et de technocrates ambitieux dont la plupart quitteront par la suite le PDCI pour donner jour au RDR dont il est le président rêve déjà de diriger le pays à la mort de son bienfaiteur. Il se mettra donc en tête d'occuper officiellement le fauteuil de chef de l'Etat de Côte d'Ivoire à la mort d'Houphouët Boigny. ''Président par intérim'', c'est par ce titre redondant, qui dépeint pourtant avec exactitude la réalité du pouvoir pendant cette période, que ceux qui profitaient du ''règne'' de l'ancien gouverneur de la BCEAO aimaient à le désigner. C'est en réalité au cours de cette période au cours de laquelle il a cumulé les postes de Premier ministre et de ministre de l'Economie et des Finances du poumon économique de l'UEMOA que Ouattara a constitué son immense fortune. Par des pratiques contraires aux règles de la bonne gouvernance qu'il a toujours revendiquée parlant de sa gestion des affaires de l'Etat.

De son passage à la Primature

Alassane Dramane Ouattara a longtemps travaillé à la Banque centrale de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) où il a occupé de hautes fonctions. D'abord en tant que vice-gouverneur pour le compte de la Haute Volta (Burkina Faso), puis gouverneur de l'institution bancaire pour la Côte d'Ivoire. Dès 1990, il rentre en Côte d'Ivoire où il est coopté au poste de premier ministre six mois plus tard. Une responsabilité qu'il assumera trois années durant, avant de déposer ses valises à New York afin d'y occuper le poste de directeur général adjoint du Fonds monétaire international (FMI). Au terme d'une telle carrière professionnelle, l'époux de Dominique Nouvian Folleroux a pu se constituer un trésor. Quoi de plus normal ! Mais un retour sur le parcours de l'homme, surtout des faits qui ont lieu lors son passage à la Primature, finit de convaincre le plus incrédule que l'essentiel des avoirs d'Alassane Ouattara a été acquis de façon frauduleuse. Alors qu'il était le locataire de la Primature en effet, Alassane Ouattara avait mis sur pied un mécanisme de gestion qui lui permettait de pomper les ressources publiques. La trouvaille est de taille car le Trésor public qui était censé recueillir les recettes de l'Etat en provenance des régies financières est purement et simplement mis à l'écart. Le seul maitre à bord, de surcroit ministre de l'Economie et des Finances, avait préféré à la caisse officielle de l'Etat de Côte d'Ivoire une régie interne à la Primature. Tous les fonds en provenance des régies financières que sont les Douanes ivoiriennes dirigées en son temps par Doua Bi Kalou, les Impôts, le Port d'Abidjan, et même le Trésor public qui en était réduit à collecter des ressources insignifiantes, convergeaient ainsi vers la Primature. Bien évidemment, le président Houphouët Boigny qui était miné par la maladie et qui avait une confiance en Ouattara avait abandonné la machine étatique dans la main de l'économiste qui ne rêvait pas mieux. La caisse de l'Etat en vient petit à petit à être totalement confondue avec les biens privés de Ouattara. Par ce procédé, il arrive à faire main basse sur des ressources financières énormes transportées en Europe à chaque déplacement du premier ministre au chevet du président Houphouët Boigny qui suivait des soins médicaux en France avant d'être transféré en Suisse. Sous le prétexte des visites donc au Bélier de Yamoussoukro dont l'état de santé préoccupait la nation tout entière, Ouattara fera sortir du pays des fonds énormes. Sans avoir à rendre compte à qui que ce soit. Chaque semaine, il prenait la destination de l'Europe où il planquera son butin dans les paradis fiscaux. Des personnes qui ont participé à ces opérations de transferts de fonds et que nous avons pu rencontrer dans le cadre de nos investigations sont convaincues que ce sont des centaines de milliards qui ont été ainsi emportés entre 1993 et 1994. Le général Abdoulaye Coulibaly, qui était le pilote d'Houphouët Boigny, à en croire ces témoins des faits dont certains travaillaient à CODIVAL, est bien placé pour dire la destination de ces fonds. Décembre 1993, Houphouët Boigny décède. Moins d'un mois après, la dévaluation du franc CFA contre laquelle il s'était longtemps battu devient effective. Le jour même de son inhumation. Il n'a pas réussi à s'imposer aux Ivoiriens comme il le souhaitait, en se proclamant comme le président par intérim de la Côte d'Ivoire, mais Ouattara peut désormais jouir de la manne importante dont il dispose, logée dans les banques suisses, dans la principauté de Monaco, au Luxembourg... Avec la dévaluation, les montants emportés deviennent deux fois plus importants. Du simple au double. Dans sa tentative de faire main basse sur le pouvoir par tous les moyens, y compris les coups d'Etat, il n'hésitera pas à s'en servir. La suite, on la connaît. Des actions subversives à répétition depuis la mort de Houphouët Boigny : contre Bédié, puis Guéi Robert et enfin Laurent Gbagbo.

Le patrimoine d'ADO à l'étranger

En dehors des fonds emportés des caisses de l'Etat, qui ont permis à Alassane Ouattara d'ouvrir des comptes dans les paradis fiscaux, Ouattara dispose de biens immobiliers et autres à travers le monde. Des biens acquis pour la plupart avec l'argent volé dans les caisses de l'Etat. Au nombre des biens immobiliers dont il dispose, on note entre autres un immeuble sis au Plateau, jouxtant la direction du Trésor public. Avec le concours de Mme Dominique Nouvian Folleroux, la patronne de l'Agence internationale de la commercialisation immobilière (AICI) qui deviendra plus tard son épouse, de nombreuses réalisations du patrimoine de l'Etat passeront aux mains de Ouattara. Contre un franc symbolique ou moyennant des sommes en deçà de la valeur des biens ainsi frauduleusement acquis. Hors de la Côte d'Ivoire, il faut dire que le leader du RDR a acheté à des millions de dollars en Haiti une vaste plantation de canne à sucre. Cela, sur conseil de son parrain, feu Grégoire Yacé Philippe. Aussi possède-t-il des bateaux commerciaux qu'il s'est offerts après son départ de la primature, qui lui rapportent énormément. Au Burkina Faso, il détient une cimenterie rachetée et qui n'est pas le seul bien à son actif dans ce pays. Mais c'est au pays d'El Hadj Oumar Bongo que se concentrent la plupart de ses biens. Un parc maritime et des biens de natures diverses à son nom sont dans ce pays de l'Afrique centrale où le chef de l'Etat qui se présente comme son parrain lui fait de nombreuses faveurs. Vu la couverture dont il bénéficie et les largesses dont il est l'objet dans l'acquisition des marchés publics dans ce pays, il ne faut vraiment pas s'étonner d'entendre dire que Ouattara a décidé de bitumer sur fonds propres plus de 1000 km de voie de ce pays. Cela, gratuitement. Par ailleurs, le fonctionnaire international qui a des liens solides dans le milieu de la haute finance depuis Dakar se livre au blanchiment d'argent. Ayant une parfaite maitrise des flux financiers à travers le monde, l'ancien premier ministre se sert de structures écrans pour se livrer à des activités pour le moins répréhensibles. Ainsi, derrière les actions de haute portée humanitaire dont l'ONG Children's of Africa, qui est une propriété de son épouse peut se vanter, circule de l'argent sale. Le circuit que suit ce réseau est tellement complexe et bien pensé qu'il serait impossible à n'importe quel spécialiste de la lutte contre le blanchiment d'argent d'épingler l'ONG. De nombreuses sociétés exerçant dans les secteurs les plus divers, donc beaucoup d'affaires et de sous, se cachent en tout cas derrière le choix des Ouattara de s'adonner à une activité humanitaire. Outre Children's of Africa, il y a Jacques Desange. Et une autre structure comme l'International institute for Africa (IIA) basée à Washington, avec delusion entre Ouattara et cette société. Elle a été mise sur pied depuis son passage à la Primature et a pour mission essentielle de financer de façon subtile les activités subversives du leader politique et de faire du lobbying à son profit dans certains cercles. Mais bien entendu, cette structure de droit américain tire ses revenus du recyclage de l'argent sale en provenance de pays sous embargo. A l'image du Liberia et de la Sierra Leone où la vente de diamant et d'or a été longtemps interdite par le conseil de sécurité de l'ONU. Au pays où il a vécu de longues années en tant qu'étudiant puis directeur général adjoint du FMI, il a pu intégrer les réseaux mafieux de vente d'armes et c'est par des sociétés écran telles l'International institute for Africa (IIA) qu'il a armé sans discontinuer les auteurs des coups d'Etat à répétition qui déboucheront sur une rébellion après un énième échec en septembre 2002.

Les comptes de Ouattara à l'étranger

Comme nous l'avons signifié plus haut, le président du RDR dispose de plusieurs comptes dans les paradis fiscaux et des pays comme la France et les Etats-Unis où il a des intérêts. En Suisse et à Luxembourg particulièrement, on dénombre au total six comptes où s'effectuent des opérations de diverses natures. Selon qu'il s'agisse d'une activité lucrative ou d'une autre se rapportant à ses activités politiques ou subversives. Dans ce dernier cas, c'est l'International institute for Africa (IIA) qui est actionnée. Cette structure qui est sa propriété comme nous l'avons déjà indiqué plus haut, détient un compte à la Dexia Banque international à Luxembourg sise à 69 rue d'Esch, L-2953 Luxembourg. ''Dexia Banque Internationale à Luxembourg est une banque à vocation résolument eruopéenne. Nous recherchons des nouveaux talents pour épauler nos 5000 collaborateurs implantés dans 16 pays afin de contribuer activement à notre mission au sein du groupe Dexia : le développement international des métiers de gestion d'actifs, de banque privée et d'administration de fonds d'investissement. Nous voulons pouvoir compter sur des collaborateurs capables de relever tous les défis et bien décidés à grandir au rythme de notre entreprise. Grâce à nos activités variées et nos filiales implantées en Europe et en Asie, la mobilité interne et internationale sont des réalités au sein de la Dexia BIL. En tant qu'entreprise socialement responsable, Dexia a mis en place de nombreuses mesures visant à améliorer le bien-être de son personnel, que ce soit sur son lieu de travail ou en dehors. Gestion de carrière, formation, égalités des chances, santé, équilibre travail/Vie de famille, autant de domaines dans lesquels Dexia BIL est fière de pouvoir offrir à ses collaborateurs des solutions innovantes'', lit-on sur le site internet de la banque. Le compte de Alassane Dramane Ouattara dans cette banque date de juillet 1999. Et le fait qu'il porte le nom de la société de droit américain ne doit pas étonné car il s'agit d'une société écran. Le vrai propriétaire du compte est bel et bien Alassane Ouattara comme ont pu le confirmer des hauts cadres de l'établissement bancaire qui ont réquis l'anonymat pour des raisons de confidentialité. De même, la déontologie de notre métier ne nous autorise pas à rendre publiques certaines informations en notre possession sur le sujet. A en juger par sa date de création, on se rend bien compte que c'est au moment où il démissionnait de son poste de directeur général adjoint du FMI. Il annonça dans la même période son désir de renter en Côte d'Ivoire pour y prendre part à la vie politique. Surtout, il envisageait de se présenter à la présidentielle. Quelques mois après, soit en décembre 1999, alors qu'il venait de dire publiquement qu'il allait attenter à la sureté de l'Etat, une banale mutinerie emportera le pouvoir Bédié.

Les scandales qui ont émaillé sa Primature Son passage à la tête de la primature a en outre été marqué par plusieurs scandales financiers. Au lendemain de sa nomination au poste de premier ministre, il se signale par l'affaire des 19 tonnes d'effets personnels non dédouanés. L'affaire fera grand bruit mais n'inquiètera pas le gouverneur venu de Dakar qui ne s'arrêtera pas à ce forfait. Il prend gout à la mal gouvernance et il est très difficile de l'arrêter, surtout que Houphouet Boigny est agonisant. Eclate alors l'affaire ''Ouattara vend et rachète''. Le chef du gouvernement brade à tout vent le patrimoine de l'Etat ivoirien. Le hic, c'est qu'il se trouve être à la fois vendeur et acquéreur. Un délit d'initié. La clameur publique dénonce ce pillage en règle du patrimoine de l'Etat. Une action dont lui seul était le bénéficiaire, vu qu'il cédait à vide prix les structures dont certaines étaient très sensibles à des proches et amis. Des sociétés écrans bien sûr étaient déjà dans le jeu. Des contrats juteux sont passés entre le Port autonome, la SODECI, la CIE, et des entreprises françaises telles que Bouygues et Bolloré, moyennant des francs symboliques pour la plupart. Sans les Français, il ne restait plus à la Côte d'Ivoire qu'à déclarer faillite, voulait-on faire croire. Pour toutes ces actions en faveur de la France, Ouattara percevra des pots de vin qui s'élèveront à des milliards. Des ristournes déposées dans des banques françaises particulièrement. Déjà à la BCEAO, il aurait conçu un réseau digne d'une mafia pour ses activités illégales. En accédant au poste de gouverneur de la banque centrale, il s'ouvrait la voie pour venir faire main basse sur la Côte d'Ivoire. Dix sept ans après son arrivée dans le paysage politique ivoirien, l'homme qui a bien planifié son affaire était à deux doigts à la mort d'Houphouët de s'emparer de la magistrature de l'Etat. Avec l'argent des Ivoiriens.

Par Safiatou Ouattara
S: l'intelligent d'abidjan
16.11.2007. 15:09
diament le 10.11.2010. 16:38
moi je suis de gauche et j aime bien gbagbo mais je commence a etre fatigué de vos ecrits sur ce monsieur alons aux elections
CamilleGASSAUD le 15.11.2010. 18:17
Cissé je suis d'accord avec toi que ce débat doit être civilisé et cohérent, ce doit surtout être un débat d'idées.Voilà pouquoi je voudrais te dire qu'ado n'est aussi angélique que tu veux le faire croire encore moins le plus intelligent.
Parlons chiffre, cet homme intellignet( et les chiffres de la banque mondiales le confirment) lorsqu'il partait de la Côte d'ivoire en 93, notre taux de croissance était négatif, alors que cela n'était le cas quand il arrivait en 89.Alors il a échoué pendnat sa mission entre 90 et 93.A contrario Gbagbo malgré la guerre est parti d'un taux de croissance en 2002 de -2% pour atteindre aujourd'hui en 2010 un taux de croissance de plus de 3%, on parle même de 4%.
Je voudrais aussi te dire que gbagbo contrairement à ce que vous voulez faire croire à tenu ses promessess vis-à-vis des agriculteurs, il est le seul président après houphouet qui a offert un prix rémunérateur des plus élévés ( plus de 1000 frcs pour le cacao)et on l'a même avant cette sale guerre qu'ado nous imposé, que les planteurs du Ghana venaient vendre leurs production ici.Allons même quand on aime le lièvre on reconnait qu'il court vite!
Tu dit aussai que ado a contruit des universités là où Gbagbo n'a rien fait , je suis désolé,c'est un abus de langage, ton mentor n'a pas contruit d'université, mais plutôt des ures des unités de rechaerches qui sont en sommes sont de grandes écoles spécialisées.Ce qu'il ne te dit pas aussi c'est que les infrastructures étaient insuffisantes ds les universités d'abidjan , qu'a-til fait à ce niveau.je sais de quoi je parle parce j'étais étudiant à cette époque, régulièremnt inscrit à la fac de sciences éco à l'univeristé de Cocody, mais je faisais cours à abobo-adjamé, pourquoi? Dis-moi.Mais je repondrais pour dire que Gbagbo n'a pas construit d'université parce qu'il à voulu résoudre une grave injustice qu'avait introduite ton mentor dans l'enseignement et qui avait démotivé et entrainé l'abandon de la fonction enseignante qui nous donne aujourd'hui un grave déficit d'enseigants à tous les niveaux.Le salaire à deux vitesse était une mauvais chose et Gbagbo s'est évertué à y mettre fin , mais en plus il a augmenter les salaires des enseignants ce qui a contribué à remotiver les gens pour la fonction enseignante et permis par la même occasion de réduire le déficit d'enseiganants.Gbagbo n'a pas construit d'universités, parce qu'il se préoccupait aussi du sort des populations restées en zone rebelles à qui il fallait offrir l'électricité, l'eau et le courant gratuitement.Gbagbo ,'a pas construit d'universités parce que pendant 8 ans il a entretenu des rebelles que vous lui avez imposés, et qui sont logés depuis 8 ans à l'hotel du golf.Et oui tout cela à un coût.Sais-tu que ce côut avoisine les 3000 milliards de FCFA.Sais-tu le nombre d'écoles qu'on aurait pu contruire? ou encore d'universités avec tout cet argent?
Et puis vous êtes aussi comptable de la gestion de l'école, de l'agriculture, des infrastructures économiques et du transport parce que jusqu'à maintenant ces différents ministères sont aux mains des votres qui n'ont cherché qu'à s'en mettre plein les poches et plein les caisses de leurs partis respectifs.Sachons raison gardée, et critiquons ce qui l'est.Pour finir je te repondrais que les relations d'ado n'ont jamais servi les intérêts de la Côte d'ivoire si ce n'est pour nous envoyer la guerre.Quelle usine a-t-il construit ici alors qu'il en au Burkina.Quelle plantation a-t-il créée ici alors qu'il en a en Haiti.ado n'a pas l'amour de ce pays ,si ce n'est l'amour de ces richesse.Viens et vote Gbagbo qui aime ce pays et ces habitants pour qui il se bat depuis 30 ans.C'est cela un homme politique.
Ouattara N'ganon Husseyn le 18.11.2010. 18:43
C' est sur qe cette safiatou céest encore l'une des nombreuses maîtresse de Gbagbo. Ta pa honte qoi a koz de qq miète tu accepte de faire croire o gens ce q' ADO n'est pa. Franchement gè pitié a ta place
yves le 20.11.2010. 04:56
bo travail miss o moins il y a des gens ki mène dè enquète sur des persone dite intouchable. FAITE VOTRE TRAVAIL MISS SIL ARIVE KE GBAGBO KITE LE POUVOIR G SAI KE VOU ZEN FERER DE MEME; nous some pou une CI fiable digne prospère avec dè tète pensante mais en agissant pou la ci
CASANOVA le 22.11.2010. 08:31
Merci miss Safiatou car vous venez de mettre en lumière cette ignominie dont incarne cet homme malhonnete egocentrique depourvu de toute moralite... quel demence?
Qu'il parte prendre part aux elections dans son propre pays pour que enfin les Ivoirien revivre cette vie de PAIX de PROSPERITE
Dieu beniisse la Cote d'Ivoire et tout les Ivoiriens avec
hebié adama le 23.11.2010. 08:14
que Dieu n'a qu"a te pardonner cette journaliste. elle est entrain de preparer son enfer.coma quelqu'un peut avoir de telles imaginations?pardon apporte les preuves de ce que tu dis.sinon on doit te retirer ton diplome de journaliste.tu es contre ton pays ou bien tu es pour l'evolution de ton pays .
kouakou philippe le 24.11.2010. 04:21
Franchement c'est regrettable d'entendre de pareils inepties.
c'est donc clair pour vous il n'y a rien à faire car toutes personnes qui portent un nom musulman et ki vit sur cette terre doit porter votre soutien peu importe sa provenance. on vous dit que ce monsieur est un étranger et vous vous dites que non il est ivoirien. dites moi êtes vous vous mêmes IVOIRIEN ? si ce monsieur est vraiment ce qu'il prétend prkoi a t'il mis tant de temps pour fournir ces papiers ( extraits de naissance et autres)aussi s'il est vraiment ivoirien au moins une fois ds sa vie il aurait du voir la 1ere carte d'identité de couleur orange,aussi celle de couleur verte et j'en passe. un monsieur d'aussi rangé ne peut prétendre les avoir perdu.
Demander lui de nous fournir une de ces pièces et on verra par la suite le problème de la guerre dont il est le géniteur.
koudou jean le 28.11.2010. 12:33
c est triste de voir toute la haine qui anime certaines personnes accuser quelqu un sans preuve vous vous render compte de ce que vous avancé!qui aura l audace de comparer ADO à un voleur commeGBAGBO.madame si on t a payé pour faire ça dans le but nous faire croire que GBAGBO n est pas le seul qui vol ici alors tu échoué
Tu me fais pitie!!
coolio kabore le 07.12.2010. 12:42
si vous accusez alassane , selon vous donc houphouet , bedie, et les autres n ont pas voler, vous me faites rire, alassane n a rien fait
kader kouakou le 08.12.2010. 11:51
Cet article est vraiment du n'importe quoi c'est idiot pour celui qui a écris ces bêtises. Il est normale que ADO soit milliardaires vu de son imminente carrière dans les hautes fonctions des institutions financières.
Boua le 08.12.2010. 17:51
Toutes les Safiatou , sont des putes
sergio le 17.12.2010. 17:01
cela m'etonne pas car alasane wattara est plus qu'un voleur,s'est un assassin. mais DIEU va jugé et le jugement sera tres tres terible.
N'Guessan Maria le 24.12.2010. 04:55
Bande d'idiots. Allez sur le net et tapez les "38 miliadaires du FPI", vous allez comprendre qui sont les fossoyeurs de la republique. Gbagbo, ses epouses, ses miliciens sont des miliardaires et meme le president de la FESCI, qui a deux miliards. Comment en tant qu'etudiant et d'ou' sort-il cette fortune ? Les voleurs de la republique ce sont les refondateurs. Laissez l'honnorable et haut fonctionaire international. Le reste c'est de la jalousie.
laurent le 11.01.2011. 07:10
lol c'est fou tout ceci. vraiment sa m'a détendu un peu tellemnt j'ai ri ahahahahahhahahahahahhhahahhhahahahahahhahahahahhhhhhhhaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhahhhhhh mdr
obiang le 17.01.2011. 17:29
ado est le cancer de la ci cest un assassin et il ne sera il ne sera jamais president ici par miracle sil le devenait je devient rebelle.kil part au burkina son pays natal
Chichichichi le 25.01.2011. 18:52
Sale menteuse,jalouse de naissance. C'est pas de ta faute si tu n'as pas eu la chance d'aller loin a l'ecole,c'est la faute de l'argent. Grouille payer les etudes de tes enfants,pourque demain,ils puissent devenir des economistes de renom comme Mister Ouattara. Bisou pour seule.
Mister le 26.01.2011. 11:02
Il y a des pauvres "C" qui pardonnent tout aux voleurs pour vu qu'ils lui fassent un beau sourire. On n'a pas à faire de jugements sans preuves, mais avec, on peut faire un honnête candidat, et moi je n'ai pas de jalousie ni de la pitié pour ce candidat ni pour aucun autre.
aslane le 03.02.2011. 16:01
s il y a des ivoiriens qui on la tête comme outtara a lort la il sont béni dite se que vous voulez moi j aimerais avoirs la tête comme lui
ange le 06.03.2011. 03:58
quand on est ivoirien il est impossible de voter pour un assassin comme ouattara. on jette la faute de l'ivoirite a gbagbo. mais en realite l'ivoirite est un arbre. elle fut plante par ado, arrose et entretenue par bedie et guei et elle essaie d'etre coupe par gbagbo. avant qu'alassane vient en civ qui demandait a qui tu es du nord tu n'es pas ivoirien etc... avec sa carte de sejour avec laquelle il nous promettait des milliards il a seme la division et les tracasseries. ouattara a fait trop de mal a la cote d'ivoire. il n'aime pas ce pays gbagbo n'est pas saint ca je n'en doute pas mais lui au moins est de chez nous et il est le vrai fils de notre pere houphouet il est celui qui continue le noble combat d'houphouet tandis que ouattara qui pretend etre son disciple est pret a tout pour vendre ce beau pays aux occidentaux ivoiriens ouvrez vos yeux on a qu'un seul pays
*pascale le 24.03.2011. 13:27
Moi je crois que toutes ces cabales contre ADO en donnent en réalité rien car des gens ne disposant pas des informations veulent nous faire croire que ADO est un voleur et qu'il est devenu riche en pillant les fonds de l'état ivoirien je trouve cela absurde, car jusqu'à maintenant personne n'apporte des preuve palpable qui pourraient nous édifiées, je pense que Safiatou Ouattara est une menteuse qui ne fait pas du journalisme d’investigation, rester dans son salon et se baser sur des découpes c'est vraiment dommage pour cette corporation , elle n'est pas digne d'en faire partir ou du moins elle à voler son diplôme comme Blé Goudé.
.................................pppffffffffffffff
Celestin T Fongue le 01.04.2011. 16:00
Comment pouvons nous etre aussi bas Ne regardons pas souvant la fortune de quelqun sans voir son parcour et ses habitudes a t'il occupé des gros postesest'il depensier? je crois que ADO ne devrai pas etre considerer comme un voleur occose de sa fortune il pouvaus avoir plus sans avoir volé regardons un peu le contenu de sa tete ma foie cette ete la c'est de l'or avec cela vous etes riche pas besoin de voler
ne citer pas seulement ses biens prouver que les dit biens son sien
j'ai honte de se jene de jouranalisme soiyons serieu je crois que vous pouver convaincre quelques facile a duper mais pour des gens un peu eclairé cela releve de lintox
Diaby Moussa le 12.04.2011. 23:26
Mme, je n'ose même pas prononcer votre nom. Je ne sais pas que était le but de cette affabulation ni les raisons mais sachez que dans tous les cas vous avez échoue car des gens comme vous ne sont pas dignes d'être ce que vous prétendez être . Vous portez des jugements calomnieux sur un Mr qui ne mérite pas ca surtout venant de quelqu'un comme vous. En effet même ses adversaires l' ont traite de tout sauf d'un voleur et pourtant ce n est pas des gents comme vous qui manquent dans leur équipe!
Pouvez vous nous dire comment eux ont-ils fait? Eux qui n'hésitent pas a brandir leur richesse et qui avaient du mal a trouver le prix d'une cigarette!!!
Je pense que vous n'êtes qu'une opportuniste aguerrie mais vous avez pris la mauvaise voie pour parvenir a votre fin. J'ignore si vous êtes ivoirienne mais si c'est le chère Mme, êtes donc de porter l'ignominie a votre pays et a vos compatriotes .
VECH6 le 05.05.2011. 22:30
OUATTARA LR BOUCHER DE SINDOU EST UN VOLEUR ET ASSASSINS..
fredy mukoj le 21.05.2011. 12:35
j passe que tout va bien en libu
fredy mukoj le 21.05.2011. 12:46
j suis a likasi tout va bein
korbo le 04.06.2011. 09:35
votre reportage est pathétique.c'est dire que vous etes sansscrupule.vous allez rester dans la mediocrité sans vous en rende compte.desolé pour vous.
gerad de susa le 15.06.2011. 20:09
Il faut éviter de raconter des sottises sur un homme aussi important qu'est ado.il ne peut jamais être fraudeur et échapper à la justice internationale. C'est parce qu'il a pu gerer son argent que vous racontez n'importe quoi. Bandes de jaloux, allez vous faire foutre.
pffffffffff le 24.06.2011. 16:45
election est fini Ado a est devnu president avec palabre comme dab mais ya pa de bleme il a fait la guerre pdt 10 ans a la CI ? on attend de voir ce kil va faire pdt ces 5 ans ki deviendron juska la mor plu tard mai vu son depar je pens ke les ivoiriens ou autres personnes vivant en CI et ayant voter pour ce Mr vera ki; afait une enorme erreur vous ki insulter la dame ki a fait 7 enquete pouvez vous affirmer que c'est faux ? non donc mettez la en veilleuse avec GBAGBO on navai jamai faim on atten de voi now vous allez bien pleurer
NAMBEA le 06.07.2011. 17:36
Le parcours d'ADO illustre bien l'adage:"Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années.
C'est dire que sa compétence a fait l'unanimité au sein de l'opinion internationale.
Le chien aboie, ADO passe.
Beaucoup de courage et bon mandat mon Président
MOUNA le 15.09.2011. 23:20
Moi personnelement j'ai pas grand chose a dire sur ce article ,je ne vais pas perdre mn temps a repondre aux idioties d'une personne qui est loin de connaitre d'abord sa soit disante profession qui est le journalismme encore moins celle d'un ADO qui l'ECONOMIE et je fini pour dire que si Dieu pouvais me donné la chance d'etre com lui vu ke je suis aussi etudiante en Economie vraiment je ne saurai CMT LE REMERCIER





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